Les psaumes 88-150 contiennent des louanges à la miséricorde et à la bonté du Seigneur. Certains de ces psaumes expriment la reconnaissance pour la parole de Dieu (voir le psaume 119) , d’autres déclarent que les enfants sont des dons précieux du Seigneur (voir le psaume 127). Les psaumes 140-145 contiennent quelques-unes des prières de David, implorant Dieu de le délivrer de ses ennemis.
Réfléchis à l’histoire remarquable suivante concernant le psaume 100 :
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B. H. Roberts
B. H. Roberts, de la présidence des soixante-dix
B. H. Roberts, des soixante-dix, était aumônier dans l’armée américaine pendant la Première Guerre mondiale. La guerre s’acheva finalement et l‘armistice fut signé le 11 novembre 1918. Deux semaines plus tard, le jour de la fête de l’action de grâce, un groupe de soldats américains était rassemblé en France pour une cérémonie solennelle.
« La grande assemblée était composée de hauts gradés et le service était dirigé par les aumôniers, qui étaient assis dans la tribune.
« Frère Roberts fut relégué à l’un des sièges à l’arrière. On ne lui avait pas demandé à l’avance de prendre la parole. Ce fut donc avec beaucoup d’étonnement qu’il entendit l’aumônier qui dirigeait annoncer : ‘Frère Roberts, l’aumônier mormon d’Utah, va maintenant venir lire le psaume d’action de grâce.
« Frère Roberts n’avait jamais entendu parler du psaume d’action de grâce mais, cachant sa gêne personnelle et la situation embarrassante dans laquelle l’Église allait peut-être se trouver, il se leva et se rendit à l’estrade, sans savoir ce qu’il allait dire.
« Des années plus tard, il témoigna que, pendant la longue marche pour arriver devant tout le monde, il entendit distinctement une voix dire : ‘Le Psaume 100.’
« Elle était aussi claire que si quelqu’un avait parlé à côté de lui.
« Frère Roberts fit face à la foule, marqua une pause, puis ouvrit sa Bible et lut le psaume 100. […]
« Après avoir fermé sa Bible et être retourné s’asseoir, il remarqua que les autres aumôniers évitaient de le regarder ; ils ne quittaient pas le sol des yeux.
« C’est alors qu’il comprit que cette partie de la cérémonie était une tentative délibérée de le mettre dans l’embarras, ainsi que l’Église et la prêtrise. Il était reconnaissant de l’aide qu’il avait reçue du Seigneur au moment où il en avait besoin et, ce soir-là, lorsqu’il retourna dans sa tente, il ouvrit le livre des Psaumes et découvrit que le psaume 100 exprime ce qu’il y a de plus pertinent et de plus adapté pour la fête de l’action de grâce » (« Inspiration Key to Thanksgiving Psalm », Church News, 22 novembre 1975, p. 12).
Étudie le psaume 100 et réfléchis à ce dont tu peux être personnellement reconnaissant. Dans ton journal d’étude des Écritures, note les choses dont tu es le plus reconnaissant.
Le Seigneur bénit les personnes qui respectent ses lois
Réfléchis à l’utilité des objets suivants : une lampe de poche, une carte et un phare. Comment chacun de ces objets sert-il à guider et à diriger ?
Réfléchis à des situations dans lesquelles les jeunes d’aujourd’hui ont besoin d’être guidés et dirigés.
Pendant que tu étudies le psaume 119, cherche ce qui peut t’aider à être guidé et dirigé dans la vie.
Le psaume 119 contient huit versets pour chacune des vingt-deux lettres de l’alphabet hébreu.
Lis Psaumes 119:1-6 en y cherchant ce qui, selon le psalmiste, fait qu’une personne est bénie. Le mot intègre au verset 1 signifie pur et sans péché.
À ton avis, que signifie « marche[r] selon la loi de l’Éternel » (Psaumes 119:1) ?
Pense à une occasion où tu t’es senti heureux parce que tu marchais dans la loi du Seigneur.
Le mot ordonnances au verset 4 désigne les commandements et les enseignements de Dieu. Les autres mots employés dans ce psaume comme synonymes des commandements et des enseignements de Dieu sont : préceptes, statuts, loi et voie.
L’auteur du psaume 119 emploie des symboles pour décrire son amour pour la parole de Dieu et les bénédictions qui peuvent résulter de l’étude diligente de ses paroles et de l’obéissance. Pour comprendre ces expressions symboliques, lis les passages suivants en y cherchant à quoi le psalmiste compare la parole de Dieu. Écris ce que tu as trouvé dans l’espace prévu. Le premier passage a été fait à titre d’exemple.
Dans ton journal d’étude des Écritures, écris comment chaque objet mentionné par le psalmiste peut t’aider à comprendre l’importance de la parole de Dieu ou les bénédictions qui en découlent.
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le songe de Léhi
Comme la barre de fer, les Écritures sont une aide pour nous conduire à la vie éternelle.
Lis Psaumes 119:105 en y cherchant ce à quoi le psalmiste compare encore la parole de Dieu. (Psaumes 119:105 est un passage de la maîtrise des Écritures. Tu pourrais le marquer d’une manière spéciale afin de pouvoir le retrouver à l’avenir.)
Demande-toi en quoi la parole de Dieu est comme une lampe ou une lumière pour toi lorsque tu l’étudies. Ce verset nous enseigne que, lorsque nous étudions la parole de Dieu, nous pouvons être guidés pour notre vie personnelle. Tu pourrais écrire ce principe dans la marge de tes Écritures à côté du verset 105.
Qu’est-ce qui, dans la parole de Dieu, peut te fournir la lumière et la direction dont tu as besoin ?
Pour comprendre ce que tu peux faire pour être guidé par la parole de Dieu, lis Psaumes 119:11, 15-16, en y cherchant ce que le psalmiste fait avec la parole de Dieu. Tu pourrais marquer ce que tu as trouvé.
L’expression « je serre ta parole dans mon cœur » (Psaumes 105:11) peut vouloir dire « je pense continuellement à la parole du Seigneur ». Cela peut aussi parler de l’intérêt d’apprendre par cœur la parole du Seigneur.
Fais ce qui suit dans ton journal d’étude des Écritures :
Réfléchis puis réponds à la question suivante : À quelle occasion la parole de Dieu a-t-elle été pour toi comme une lampe ou une lumière, te guidant personnellement ?
Note ce que tu vas faire pour mieux connaître la parole de Dieu afin de recevoir la direction promise.
Pour t’aider à apprendre par cœur Psaumes 119:105, note le verset sur une carte ou un morceau de papier. Mets-le chez toi sur l’interrupteur d’une lampe et lis-le chaque fois que tu le vois jusqu’à ce que tu l’aies mémorisé.
Récite ce verset à un membre de ta famille, de ta paroisse ou de ta branche, et demande à cette personne de parler d’une occasion où les Écritures l’ont guidé. Résume par écrit l’expérience dans tes propres termes.
Réfléchis à la façon dont tu réagirais dans la situation fictive suivante : Un ami te dit : « Fonder une famille me semble être un fardeau qui m’empêcherait de faire d’autres choses importantes dans la vie. Je pense que, quand je serai plus âgé, je serai beaucoup plus heureux de ne pas avoir d’enfant. »
Quelles sont les priorités que les gens semblent mettre avant les enfants ?
Le psaume 127 enseigne le point de vue du Seigneur sur le fait d’avoir des enfants. Dans Psaumes 127:1-2, le psalmiste écrit que nous dépendons du Seigneur et que nous devons faire les choses à sa façon.
Lis Psaumes 127:3-5 en y cherchant ce que ces versets nous enseignent sur les enfants. (Psaumes 127:3 est un passage de la maîtrise des Écritures. Tu pourrais le marquer d’une manière spéciale afin de pouvoir le retrouver à l’avenir.)
Le mot héritage au verset 3 désigne un bien ou un don du Seigneur. Le mot carquois au verset 5 désigne un étui où l’on range des flèches.
Tu pourrais marquer ce que le psalmiste dit au sujet de l’homme qui a « rempli son carquois » d’enfants.
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famille à table pour le repas
Ces versets enseignent que les enfants sont un don du Seigneur et peuvent donner à leurs parents un grand bonheur. Tu pourrais écrire cette vérité dans la marge de tes Écritures à côté de Psaumes 127:3-5. L’expression « les fils de la jeunesse » au verset 4 désigne les enfants nés au début du mariage, lorsque les parents sont jeunes.
Pour comprendre pourquoi les enfants sont des dons précieux de Dieu, lis la déclaration suivante de Neil L. Andersen, du Collège des douze apôtres :
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Neil L. Andersen
« Quand nous regardons dans les yeux d’un enfant, nous voyons un fils ou une fille de Dieu qui était avec nous dans la vie pré-mortelle.
« C’est un honneur suprême pour un mari et une femme qui sont capables d’avoir des enfants de fournir un corps mortel à ces enfants d’esprit de Dieu. Nous croyons à la famille et nous croyons aux enfants.
« Quand un enfant naît d’un mari et d’une femme, ces derniers accomplissent une partie du plan de notre Père céleste consistant à mettre des enfants au monde. […]
« La famille est essentielle au plan éternel de Dieu. Je témoigne des grandes bénédictions que nous recevons grâce aux enfants et du bonheur qu’ils nous apporteront dans cette vie et dans l’éternité » (« Les enfants », Le Liahona, novembre 2011, p. 28, 31).
Réponds aux questions suivantes dans ton journal d’étude des Écritures :
Pourquoi avoir des enfants est-il un « honneur suprême » pour les conjoints qui le peuvent ?
Comment les enfants peuvent-ils apporter aux parents un grand bonheur ? (Tu pourrais poser cette question à un membre de ta famille qui a des enfants et noter sa réponse dans ton journal d’étude des Écritures.)
Comment le rappel que les enfants sont un don du Seigneur peut-il influencer ton attitude envers ta famille maintenant et ta volonté d’avoir et d’élever des enfants lorsque tu seras marié ?
Relis la situation fictive décrite au début de la partie qui traite du psaume 127. Dans ton journal d’étude des Écritures, écris une lettre pour répondre à ton ami. Mentionne les vérités figurant dans le psaume 127 et les enseignements de Neil L. Andersen. À l’appui de ta réponse, tu pourrais aussi y inclure des expressions et des points de doctrine tirés de « La famille : Déclaration au monde » (voir Le Liahona, novembre 2010, p. 129).
Quels sont les ennemis modernes de la justice dont nous pourrions avoir à demander à notre Père céleste de nous délivrer ?
Lis Psaumes 145:18-20 en y relevant les principes que David enseigne.
Au verset 18, invoquer le Seigneur avec sincérité signifie le prier avec une intention réelle et d’un cœur sincère (voir Moroni 10:4).
Psaumes 145:18 déclare que « L’Éternel est près de tous ceux qui l’invoquent ». À ton avis, que signifie avoir Dieu près de toi ? Quelles bénédictions recevons-nous lorsque nous avons Dieu près de nous ?
Termine les phrases suivantes :
Psaumes 145:18 m’apprend que, lorsque nous prions Dieu avec sincérité, il .
Il est important de comprendre que la sauvegarde des personnes qui aiment Dieu ne veut pas forcément dire qu’elles seront préservées des accidents ou de la mort physique. Les personnes qui aiment Dieu et qui montrent cet amour par leur obéissance aux commandements seront sans aucun doute préservées spirituellement et bénies éternellement.
Écris ce qui suit en bas des tâches d’aujourd’hui dans ton journal d’étude des Écritures :
J’ai étudié la leçon sur les Psaumes, 3e partie, j’ai lu les psaumes qui étaient donnés et j’ai terminé cette leçon le (date).
Questions, pensées et idées supplémentaires dont j’aimerais parler à mon instructeur :