2012
Besoins spéciaux et services rendus
Septembre 2012


Message des instructrices visiteuses

Besoins spéciaux et services rendus

Étudiez cette documentation en vous aidant de la prière et, si cela convient, discutez-en avec les sœurs à qui vous rendez visite. Utilisez les questions pour vous aider à fortifier vos sœurs et à faire de la Société de Secours un élément actif dans votre vie.

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Sceau de la Société de Secours

Foi, Famille, Secours

« Les besoins des autres sont toujours là, explique le président Monson, et chacun de nous peut faire quelque chose pour aider quelqu’un… Si nous ne nous perdons pas dans le service des autres, notre vie a peu de sens1. »

En tant qu’instructrices visiteuses, nous pouvons sincèrement apprendre à connaître et à aimer chaque sœur que nous visitons. Nous voudrons naturellement les servir parce que nous les aimons (voir Jean 13:34-35).

Comment pouvons-nous connaître les besoins temporels et spirituels de nos sœurs pour leur rendre service quand c’est nécessaire ? En tant qu’instructrices visiteuses, nous avons le droit de recevoir l’inspiration quand nous prions pour les sœurs que nous visitons.

Il est également important d’être régulièrement en contact avec nos sœurs. Les visites personnelles, les coups de téléphone, un mot d’encouragement, les courriers électroniques, le fait de s’asseoir près d’elles, un compliment sincère, le fait d’aller vers elles à l’église, de les aider en temps de maladie ou de besoin et d’autres actes de service, tout cela nous aide à veiller les unes sur les autres et à nous fortifier mutuellement2.

Il est demandé aux instructrices visiteuses de faire rapport sur le bien-être, les besoins spéciaux des sœurs et les services qui leur sont rendus. Ces rapports et les services que nous rendons à nos sœurs montrent que nous sommes des disciples3.

D’après les Écritures

Jean 10:14-16; 3 Néphi 17:7, 9; Moroni 6:3-4

Tiré de notre histoire

Nous servir les unes les autres a toujours été l’essentiel des visites d’enseignement. Grâce à des services constants, nous faisons montre de gentillesse et nous offrons une amitié qui vont au-delà des visites mensuelles. C’est notre sollicitude qui compte.

« Mon désir est de convaincre nos sœurs qu’elles doivent cesser de s’en faire pour un coup de téléphone ou pour une visite mensuelle », a déclaré Mary Ellen Smoot, treizième présidente générale de la Société de Secours. Elle nous a demandé de nous « concentrer davantage sur le soin d’âmes tendres4 ».

Spencer W. Kimball (1895–1985) a enseigné: « Il est essentiel de nous servir mutuellement dans le royaume ». Cependant, il reconnaissait que tous les services ne doivent pas nécessairement être héroïques. « Bien souvent, nos actes de service consistent simplement à encourager ou à donner de l’aide pour des tâches tout à fait ordinaires, a-t-il ajouté, mais comme elles sont merveilleuses les conséquences qui peuvent découler d’actes petits mais délibérés5 ! »

Notes

  1. Thomas S. Monson, « Qu’ai-je fait aujourd’hui pour quelqu’un ? », Le Liahona, novembre 2009, p. 85.

  2. Voir le Manuel 2 : Administration de l’Église, 2010, 9.5.1.

  3. Voir le Manuel 2, 9.5.4.

  4. Mary Ellen Smoot, Filles dans mon royaume : l’histoire et l’œuvre de la Société de Secours (2011), p. 117.

  5. Enseignements des présidents de l’Église, Spencer W. Kimball, 2006, p. 82.

Illustration photographique de Matthew Reier

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