2017
Six manières d’aider un ami qui souffre de troubles de l’anxiété
Articles numériques de 2017

Six manières d’aider un ami qui souffre de troubles de l’anxiété

Tiré d’un article de Lyle J. Burrup, des Services SDJ pour la famille

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jeune fille regardant à travers des stores

Les personnes qui souffrent de troubles de l’anxiété ont souvent peur de ce que les autres vont penser d’elles. Elles ne veulent pas que les gens les voient en proie à une crise de panique ou à d’autres problèmes liés aux troubles de l’anxiété. Elles essaient souvent de les cacher. Elles peuvent éviter les réunions sociales ou ne pas aller à l’église. Voici comment vous pouvez les aider.

  1. Aidez-les à comprendre que nous sommes tous semblables. Les personnes qui souffrent de troubles de l’anxiété sont des personnes normales qui réagissent de façon prévisible à un certain nombre de croyances, de pensées et de peurs.

  2. Essayez de ne pas porter de jugement. L’anxiété n’est pas une faiblesse. Un sentiment d’anxiété normal prouve que nous nous soucions des choses pour lesquelles nous sommes anxieux. Voici une manière positive de voir les personnes qui souffrent de troubles de l’anxiété : elles se font simplement trop de souci.

  3. Mettez vous à leur place. Soyez authentiques. Écoutez pour comprendre leurs sentiments, soyez conscient de la raison de leur lutte et dites-leur ce que vous comprenez. L’empathie est la qualité la plus efficace de l’aide psychologique.

  4. Ne leur dites pas de ne pas s’inquiéter. Cela ne leur apporte aucun réconfort. Cela montre aussi que vous ne comprenez pas comment s’opère le changement. Aidez-les à trouver ce qu’elles peuvent faire de façon concrète à propos de ce qui les angoisse.

  5. Ne leur dites pas qu’elles sont irrationnelles. Elles doivent elles-mêmes reconnaître les pensées et les comportements gênants. Si vous leur dites qu’elles sont irrationnelles, elles risquent d’arrêter de se confier à vous en se disant : « Je ne peux pas te parler. Tu penses que je suis stupide. »

  6. Apportez-leur du soutien. Incitez-les à demander de l’aide. Leur évêque peut les aider à trouver un bon thérapeute. Lors d’une crise ou d’une journée difficile, offrez votre aide pour une tâche difficile telle qu’enseigner une leçon, préparer un repas, faire la lessive, tondre le gazon, prendre soin des enfants, etc.