Documentation supplémentaire
L’enseignement au foyer


Leçon 6

L’enseignement au foyer

Le but de cette leçon est de nous aider à comprendre et à remplir notre appel d’instructeur au foyer.

Introduction

Les instructeurs, les prêtres et les détenteurs de la Prêtrise de Melchisédek peuvent être appelés à faire de l’enseignement au foyer. Pour honorer notre appel de la prêtrise, nous devons instruire les membres de l’Eglise, veiller sur eux et les aider. L’enseignement au foyer nous en fournit l’occasion.

Les dirigeants de la prêtrise appellent les instructeurs au foyer. Dans les branches et les paroisses organisées, c’est le dirigeant du collège de la Prêtrise de Melchisédek qui le fait après avoir consulté l’évêque ou le président de branche. L’équipe d’instructeurs au foyer se compose de deux détenteurs de la prêtrise. Ils doivent rendre régulièrement visite aux membres dont on leur a donné la charge.

Montrez l’aide visuelle 6-a, «Le dirigeant de collège appelle les instructeurs au foyer».

Boyd K. Packer a dit: «J’ai entendu des hommes dire, quand on leur posait une question sur leur tâche dans l’Eglise: ‹Je ne suis qu’instructeur au foyer.›» Il explique ensuite que l’enseignement au foyer est une tâche très importante dans l’Eglise. Les instructeurs au foyer sont les gardiens du troupeau. Ils sont nommés là où le ministère a le plus grand rôle à jouer. Ce sont des serviteurs du Seigneur (voir «Les saints ressentent la paix», L’Etoile, juillet 1973, p. 274).

Les instructeurs au foyer sont les serviteurs du Seigneur

L’histoire que raconte Earl Stowell montre l’importance de l’enseignement au foyer. Son compagnon et lui, instructeurs au foyer, avaient pour tâche de rendre visite à des familles non pratiquantes.

«Quelques jours après… nous avons frappé à une porte. Comme je suis petit, je dois généralement lever la tête pour regarder les gens dans les yeux. Mais cette fois-là, j’ai dû la baisser quand la porte s’est ouverte pour laisser apparaître un petit homme qui ne faisait pas plus d’un mètre cinquante.

Montrez l’aide visuelle 6-b, «Le petit Ben».

«Il était maigre [et âgé], mais il se tenait droit et ses gestes étaient énergiques. Il était clair que les années avaient peu de prise sur cet homme qui restait droit comme un i. Il avait de petits yeux perçants et écartés, la bouche était un trait tout en bas du visage. On aurait dit qu’elle le fendait d’une oreille à l’autre. Sa peau avait le grain du cuir.

«Nous lui avons dit que nous étions voisins et membres de l’Eglise, que nous venions pour faire sa connaissance. Il avait l’air mal à l’aise quand il nous a fait entrer dans un salon minuscule bien équipé en cendriers… Il dit qu’il conduisait un camion. Je l’imaginais au volant d’une camionnette, mais c’était un gros camion de la voirie. Je n’en revenais pas.

«‹Les conducteurs de camion sont d’habitude plutôt costauds. Comment…

«Il m’a coupé la parole. ‹J’ai une clef anglaise de trente centimètres sur le siège à côté de moi. Les autres le savent. Comme ça, nous sommes à égalité…›

«Au fil des mois, nous nous sommes mis à nous réjouir de lui rendre visite. [Un soir, quand nous sommes allés le voir, il était fatigué par son travail] et nous ne sommes restés que quelques minutes. Comme nous nous dirigions vers la porte, Ben a levé les yeux et a dit: ‹Quand allez-vous me dire ce que je dois faire: arrêter de fumer, aller à la prêtrise et à l’église et tout ça?›

«‹Ben, lui ai-je dit, nous serions tous les deux plus heureux si vous faisiez cela, mais c’est à vous de décider. Ce serait vous insulter que de vous dire ce que vous avez à faire alors que vous le savez déjà. Nous venons vous voir parce que… parce que sans vous la famille n’est pas complète.› Il m’a longuement serré la main…

«Il m’a téléphoné plus tard dans la semaine. ‹A quelle heure est la réunion de prêtrise?› Je le lui ai dit et j’ai proposé de passer le prendre pour lui tenir compagnie.

«‹Non, je connais le chemin et personne n’a besoin de me conduire là où je dois être.›

«Je l’ai trouvé devant l’église. ‹Je ferais peut-être mieux de ne pas entrer avant d’avoir arrêté de fumer›, dit-il. Je lui ai répondu que ce serait plus facile à faire avec l’aide du Seigneur. ‹Je fume depuis l’âge de huit ans et je ne suis pas sûr de pouvoir m’arrêter.› Je lui ai dit que je l’en croyais capable.

«Derrière son dos, on n’a pas tardé à le surnommer le petit Ben, et malgré le peu de temps qu’il avait passé à l’école, malgré sa petite taille et son âge, il s’est vite fait d’excellents amis et était au cœur de tous les projets entrepris par le collège des anciens.

«Un soir, il m’a téléphoné. ‹Il faut que je vous parle.› Il avait l’air paniqué.

«‹On m’a demandé d’être instructeur de paroisse. Je ne peux pas faire ça. Je fume et je ne connais rien à rien. Comment est-ce que je peux apprendre aux autres ce que je ne sais pas?… Qu’est-ce que je vais faire?›

«Moi aussi cela m’a fait un coup. Nous aimions beaucoup le petit Ben et nous ne voulions pas qu’il arrête de venir à l’église. Je me suis mis à prier intérieurement de toutes mes forces. Puis j’ai respiré un bon coup et j’ai dit: ‹Ben, est-ce que nous avons jamais essayé de vous dire ce que vous aviez à faire?›

«‹Non, vous m’avez simplement montré que j’avais de l’importance à vos yeux, vous m’avez donné de l’importance. C’est peut-être pour ça que j’ai commencé à aller à l’église.»

«‹Quand nous avons fait votre connaissance, nous avons découvert quelqu’un qui valait tous les efforts que nous pouvions faire. Est-ce que vous pouvez rendre visite à ces personnes en vous souvenant combien elles sont importantes? Est-ce que vous pouvez simplement leur dire qu’elles sont assez importantes pour que vous vouliez les voir de temps en temps pour leur parler de quelque chose qui a tant de valeur pour vous que vous voulez leur en parler?›

«Il y a eu un long silence, puis: ‹D’accord, j’y vais!›

«En fin de journée, je passais souvent dans la rue où habitaient plusieurs des familles dont Ben avait la charge. Elles étaient toutes non-pratiquantes, la plupart avec un mari ou une femme non-membre, éloignées de l’Eglise depuis de longues années. Un soir, j’ai vu le petit Ben qui portait la plus grosse pastèque que j’aie vue cette saison-là. Il en avait plein les bras et chaque pas était pénible. Il venait du marché. Au moment où je passais, il est entré dans une maison.

«Quand je l’ai revu, je lui en ai parlé. Il a penché la tête. ‹En rentrant, je suis passé devant le marché. Ça m’a fait penser à ces gosses. Leur père est au chômage. Les pastèques sont rares et chères cette année. Je savais que les gosses n’en avaient pas mangé, et pour être sûr qu’ils en auraient tous autant qu’ils voudraient, j’ai acheté la plus grosse pastèque que j’aie trouvée.›

«Plus tard, je l’ai vu marcher d’un pas léger par une chaude soirée, une grande carte d’anniversaire à la main. Il m’a expliqué plus tard: ‹Il y a une petite fille qui n’a que des frères. On ne s’occupe que d’eux. Alors je me suis dit que si je lui portais la carte au lieu de la lui envoyer, cela lui montrerait qu’elle était importante. C’est comme il y a quelques semaines, dans une autre famille, des gosses ont arraché le bras d’une poupée. Tout le monde s’en fichait, sauf la petite fille. J’ai emporté la poupée chez moi, j’ai sorti un vieux crochet du bureau et j’ai attrapé le ressort qui tenait le bras. Je l’ai bien réparée. Ça m’a pris toute la soirée, mais ça en valait la peine quand je l’ai rapportée. Maintenant, quand je vais là-bas, elle prend sa poupée, s’assied par terre devant moi et appuie la tête contre moi.› J’ai cru deviner de l’émotion dans sa voix.

«Peu de temps après, j’ai reçu un coup de fil enthousiaste. ‹Une petite fille dont je suis l’instructeur de paroisse va se faire baptiser!› C’était un résultat tangible [de ses visites au foyer]. Moi aussi j’étais ravi…

«Durant les cinq années précédentes, ces familles-là n’avaient eu aucun contact avec l’Eglise, excepté les instructeurs au foyer et, de temps en temps, la visite d’une sœur visiteuse de la Société de Secours. Et pourtant, à huit reprises durant les trois années suivantes, le petit Ben m’a téléphoné, chaque fois avec excitation, pour me parler d’une bénédiction à faire, d’un baptême proche, ou d’un avancement dans la prêtrise pour un jeune garçon. Je lui ai demandé comment il faisait pour les influencer à ce point. ‹J’ai seulement fait ce que vous m’avez dit. Je leur ai dit que je n’étais pas meilleur qu’eux et que je ne venais pas pour leur dire ce qu’ils avaient à faire. J’étais là parce que le bon Dieu avait servi un repas spirituel pour sa famille et que quand ils ne le partageaient pas avec nous, il y avait une chaise vide à table, la famille n’était pas complète›».

«Quand l’enseignement de paroisse est devenu de l’enseignement au foyer, tout ce que nous avons eu à faire, a été de prendre pour exemple les méthodes de Ben» (“Little Ben”, Ensign, mars 1977, pp. 66–68).

Pourquoi les instructeurs au foyer du petit Ben ont-ils réussi? Comment le petit Ben s’est-il servi du même moyen quand il est devenu instructeur au foyer?

Responsabilités des instructeurs au foyer

Montrez l’aide visuelle 6-c, «Les instructeurs au foyer sont appelés pour rendre visite aux familles».

Le Seigneur a donné aux instructeurs au foyer la responsabilité de se rendre dans les foyers des membres et de les encourager à prier et à s’acquitter de leurs devoirs de famille. Il les a appelés à être des «sentinelles»: ils veillent sur ses enfants et prennent soin d’eux (voir Jérémie 31:6; Ezéchiel 33:1–9).

Le président Lee a déclaré que les instructeurs au foyer doivent comprendre qu’ils ont pour mission de veiller sur les membres, de les fortifier et de les aider à faire leur devoir. Il a demandé aux dirigeants de la prêtrise de ne plus mettre l’accent sur l’aspect enseignement dans l’enseignement au foyer, mais plutôt sur l’aspect gardiens du foyer, qui veillent sur l’Eglise. Quand nous comprendrons cela, nous ferons un enseignement au foyer qui donnera des résultats. (Voir séminaire des représentants régionaux, avr. 1972, p. 8.)

Qu’est-ce que signifie être gardien de l’Eglise? Pourquoi faut-il que les familles auxquelles les instructeurs au foyer rendent visite sachent qu’ils se soucient d’elles avant que ceux-ci ne commencent à les instruire? (Mentionnez l’histoire du petit Ben.)

Nous, les instructeurs au foyer, nous représentons l’évêque ou le président de branche auprès des familles et des personnes à qui nous rendons visite. A ce titre, on nous demande de faire un rapport régulier, au cours d’un entretien personnel avec notre dirigeant de prêtrise, sur nos visites d’enseignement au foyer et les besoins des membres qui nous sont confiés. Bien entendu, quand il y a une maladie ou tout autre problème dans ces familles, nous devons contacter immédiatement notre dirigeant de prêtrise sans attendre un entretien.

Les familles ont besoin d’instructeurs au foyer

Nous, les instructeurs au foyer, nous devons penser aux besoins des membres dont nous sommes chargés. Nous devons découvrir les besoins individuels et familiaux, et ensuite faire des visites qui fortifient l’âme, pas simplement une quelconque visite. Nous devons les aimer tous et avoir envie de les aider. Nous devons aider ceux qui ont besoin d’acquérir du courage et de la force.

Demandez aux frères de citer les besoins de la plupart des familles. Ecrivez leurs réponses au tableau. Ajoutez-y les autres besoins mentionnés ci-après.

Toutes les familles de l’Eglise ont besoin de l’Esprit de notre Père céleste. Le président McKay a dit: «C’est notre devoir en tant qu’instructeurs au foyer de porter l’esprit divin dans tous les foyers et dans tous les cœurs» (cité par Marion G. Romney: «Les responsabilités des instructeurs au foyer», L’Etoile, octobre 1973, p. 411). Pour que les familles dont nous sommes chargés obtiennent l’Esprit, nous devons les encourager à tenir la soirée familiale, les prières familiales et personnelles et à participer activement à l’Eglise (voir D&A 20:53–55).

Les familles ont aussi besoin d’être aidées en cas de maladie. Le Seigneur nous a recommandé de faire appel aux anciens de l’Eglise dans de telles circonstances. Les instructeurs au foyer doivent savoir quand les membres des familles dont ils sont chargés sont malades et ils doivent être dignes de les bénir et prêts à le faire si on le leur demande (voir Jacques 5:14, 15).

Chaque personne, chaque famille doit faire face à des difficultés dans la vie et de temps en temps elle se décourage. Les instructeurs au foyer doivent découvrir les besoins familiaux et personnels dans un esprit de prière et chercher des moyens de soutenir, d’encourager et d’aider de toutes les manières possibles les parents, les enfants et les adultes seuls dont ils ont la charge. Il ne suffit pas de se contenter de proposer son aide.

Les familles et les personnes ont besoin des instructeurs au foyer. Il arrive qu’elles ne l’admettent pas, mais c’est un fait. Si les instructeurs au foyer prient et s’ils cherchent avec diligence des façons d’aider les personnes et les familles dont ils sont chargés, ils recevront l’inspiration qui leur montrera comment leur apporter des bénédictions.

Comment le petit Ben a-t-il répondu aux besoins des familles dont il était chargé?

L’histoire suivante montre comment un bon instructeur au foyer a aidé une famille.

«Frère et sœur Robertson… étaient un couple jeune et pratiquant dans l’Eglise. Ils ne faisaient pas de prière familiale ni de soirée familiale parce qu’ils n’étaient que tous les deux. Nous leur avions donné des leçons à ce sujet et nous les avions encouragés, mais sans résultat…

«Les deux semaines suivantes, mon compagnon et moi nous nous sommes réunis plusieurs fois pour parler des besoins éventuels de nos familles. Nous avons défini les points dont il fallait que nous nous occupions particulièrement. A la visite suivante, nous avons essayé notre nouvelle approche. Dans le cas de frère et sœur Robertson nous n’avons pas dit: ‹Que pouvons-nous faire pour vous aider?›, mais: ‹Voulez-vous nous retrouver chez moi jeudi prochain pour assister à une soirée familiale spéciale?›… [Ils ont répondu] ‹Certainement, avec plaisir!›

«Récemment, après une réunion de Sainte-Cène, frère et sœur Robertson se sont approchés de moi et m’ont rendu un témoignage sincère, me disant combien le bonheur s’était accru dans leur foyer depuis qu’ils faisaient la prière et la soirée familiales» (Don B. Center, «The Day We Really Started Home Teaching”, Ensign, juin 1977, pp. 18-19).

Aider le père

Montrez l’aide visuelle 6-d: «Les instructeurs au foyer doivent aider le père à diriger sa famille».

Image
two men shaking hands

L’Eglise de Jésus-Christ a été créée pour sauver les familles, pas simplement des personnes. Le père, chef de famille, a pour responsabilité première de mener les siens à l’exaltation. Les instructeurs au foyer doivent comprendre ce principe s’ils veulent être efficaces. Ils doivent se rendre compte qu’ils sont appelés pour aider le père ou la personne qui est le chef de famille à mener la famille à la perfection.

Une des meilleures façons de savoir ce que nous pouvons faire c’est d’avoir un entretien personnel préalable avec le père ou le chef de famille. A ce moment-là, nous pouvons lui demander de nous expliquer les besoins de sa famille et ce qu’il voudrait que nous fassions pour l’aider à les satisfaire.

Le récit suivant montre comment deux instructeurs au foyer sont passés par le père.

«Samuel Bowen n’était pas membre de l’Eglise. Sa femme et ses enfants l’étaient, et à cause de cela, les auxiliaires et les instructeurs au foyer allaient souvent les voir. Ces visites s’adressaient généralement aux seuls membres de l’Eglise de la maison. Par conséquent frère Bowen s’excusait ou ne se montrait pas au moment de la visite…

«Ces deux dernières années, les Bowen ont eu un nouvel instructeur au foyer, frère Walker. Après les avoir rencontrés et avoir discuté de la situation avec le dirigeant de la prêtrise, frère Walker a eu la forte impression qu’il devait porter son attention sur le chef de famille, frère Bowen. C’est ce qu’il a fait au cours des mois qui ont suivi, d’une manière délibérée et bien pensée. Par exemple, il ne prenait jamais rendez-vous avec sœur Bowen, mais avec son mari… Quand il allait chez eux, il parlait de la façon dont il pouvait rendre service à chaque membre de la famille. Tout d’abord, frère Bowen a été surpris de la déférence qui lui était témoignée car il n’y avait pas été habitué, mais il n’a pas tardé à apprécier frère Walker. Celui-ci leur a fait de nombreuses visites cordiales, mais il était rare qu’il présente directement un message évangélique.

«Un soir, frère Walker parlait à frère Bowen, seul à seul, au salon. Il demanda: ‹Sam, comment se fait-il qu’avec une si belle famille membre de l’Eglise et si pratiquante, vous n’ayez jamais envisagé de devenir membre?› La réponse l’étonna: ‹Je pense que c’est parce que personne ne m’a jamais demandé si j’étais intéressé. En fait, j’ai lu beaucoup de livres de votre Eglise et je crois en la même chose que vous.›

«Un mois plus tard, Samuel Bowen était baptisé et aujourd’hui sa famille lui a été scellée au temple» (Quand tu seras converti, affermis tes frères, Manuel de la Prêtrise de Melchisédek, 1974, leçon 11).

Demandez à un instructeur au foyer de rendre son témoignage concernant l’enseignement au foyer. Puis demandez à un père de rendre son témoignage de l’effet que l’enseignement au foyer a eu sur sa famille.

Conclusion

Les instructeurs au foyer sont responsables des familles de l’Eglise. Ils doivent leur rendre visite régulièrement, leur enseigner l’Evangile et les encourager à vivre dans la justice. Pour remplir cet appel, ils doivent aimer chaque membre de la famille. Ils doivent également consulter le chef de famille dans un esprit de prière pour découvrir les besoins des siens et l’aider à les satisfaire.

Incitation à l’action

  1. Réfléchissez dans un esprit de prière à votre responsabilité d’instructeur au foyer.

  2. Décidez de la façon dont vous pouvez

    1. améliorer votre efficacité comme instructeur au foyer,

    2. aider votre compagnon à devenir un meilleur instructeur au foyer,

    3. collaborer avec le père de chaque famille dont vous avez la charge,

    4. satisfaire les besoins de chaque membre de la famille.

  3. Avec votre propre famille, parlez de la façon dont vous pouvez aider vos instructeurs au foyer. Vous pourriez lire l’histoire: «L’enseignement au foyer chez Joseph Smith, le prophète», dans Devoirs et bénédictions de la Prêtrise, Tome 1, leçon 6, «Devoirs de l’instructeur».

Ecritures supplémentaires

  • Jean 21:15–17 (commandement d’enseigner aux autres)

  • Ephésiens 5:23 (le mari est le chef du foyer)

  • 2 Timothée 2:2 (les fidèles doivent s’instruire les uns les autres)

  • 1 Pierre 5:1–4 (responsabilité des anciens)

  • D&A 46:27 (les instructeurs au foyer reçoivent le don du discernement)

  • D&A 84:106 (les forts doivent édifier les faibles)

Préparation de l’instructeur

Avant de faire cette leçon:

  1. Lisez attentivement Doctrine et Alliances 20:46–47; 51–55.

  2. A la fin de cette leçon, demandez:

    1. à un instructeur au foyer de rendre témoignage de l’enseignement au foyer,

    2. à un père de rendre témoignage de l’effet que l’enseignement au foyer a eu sur sa famille.

  3. Demandez à des frères de lire ou de dire les histoires et les Ecritures de cette leçon.