2006
Souligner la valeur divine de chaque sœur
avril 2006


Message des instructrices visiteuses

Souligner la valeur divine de chaque sœur

À l’aide de la prière, choisissez et lisez les passages d’Écritures et les enseignements de ce message qui répondent aux besoins des sœurs à qui vous rendez visite. Racontez des expériences personnelles et rendez témoignage. Incitez les sœurs que vous instruisez à faire de même.

Bénédictions d’appartenir à la Société de Secours : La Société de Secours aide chaque sœur à apprendre qu’elle est une fille bien-aimée de notre Père céleste, qu’elle est de nature divine et qu’elle a le potentiel d’hériter la vie éternelle.

Que savons-nous de notre nature divine ?

La Première Présidence et le Collège des douze apôtres : « Tous les êtres humains, hommes et femmes, sont créés à l’image de Dieu. Chacun est un fils ou une fille d’esprit aimé de parents célestes, et, à ce titre, chacun a une nature et une destinée divines… Dans la condition prémortelle, les fils et les filles d’esprit connaissaient et adoraient Dieu, leur Père éternel. Ils acceptèrent son plan selon lequel ses enfants pourraient obtenir un corps physique et acquérir de l’expérience sur la terre de manière à progresser vers la perfection, et réaliser en fin de compte leur destinée divine en héritant la vie éternelle » (« La Famille : Déclaration au monde », Le Liahona, octobre 2004, p. 49).

Bonnie D. Parkin, présidente générale de la Société de Secours : « Mon appartenance à la Société de Secours m’a édifiée, fortifiée et m’a engagée à être une meilleure épouse, une meilleure mère et une meilleure fille de Dieu. Mon cœur a grandi par la compréhension de l’Évangile, par l’amour du Sauveur et par la conscience de ce qu’il a fait pour moi » (voir « Comment la Société de Secours a-t-elle été une bénédiction pour vous ? », Le Liahona, octobre 2004, p. 35).

Romains 8:16-17 : « L’Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu. Or, si nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers : héritiers de Dieu, et cohéritiers de Christ. »

Spencer W. Kimball (1895-1985) : « Les dirigeantes et les instructrices de la Société de Secours doivent se demander: Comment pouvons-nous aider les épouses et les mères à comprendre la noblesse et la valeur de leur rôle dans le processus divin de la maternité ? Comment pouvons-nous les aider à faire de leur foyer un lieu d’amour et d’apprentissage, un lieu de refuge et de raffinement ?… Notre réussite, individuellement et en tant qu’Église, sera grandement déterminée par la fidélité avec laquelle nous nous appliquons à vivre l’Évangile au foyer » (« Vivre l’Évangile au foyer », L’Étoile, octobre 1978, p. 181-182).

Comment la compréhension de notre nature divine peut-elle changer notre attitude et nos actes ?

Gordon B. Hinckley, président de l’Église : « Il y a une partie divine en chacune de vous. Vous avez un potentiel extraordinaire grâce à cette qualité qui fait partie de la nature dont vous avez hérité. Chacune d’entre vous a été dotée par son Père céleste d’une capacité extraordinaire de faire du bien dans le monde. Formez votre intellect et vos mains pour être équipées pour bien servir dans la société à laquelle vous appartenez. Développez le talent d’être gentille, d’être prévenante, d’être serviable. Raffinez en vous la qualité de miséricorde qui fait partie des attributs divins dont vous avez hérité » (« La lumière qui est en vous », L’Étoile, juillet 1995, p. 116).

James E. Faust, deuxième conseiller dans la Première Présidence : « La conviction d’être fille de Dieu vous donne l’assurance de votre valeur personnelle. Cela signifie que vous pouvez trouver de la force dans le baume du Christ. Cela vous aidera à affronter les chagrins et les épreuves avec foi et sérénité… La femme peut et doit avoir son identité et se sentir utile, appréciée et nécessaire, qu’elle soit seule ou mariée. Elle doit sentir qu’elle peut faire pour son prochain quelque chose que personne d’autre au monde ne peut faire » (« Ce que signifie être fille de Dieu », Le Liahona, janvier 2000, p. 123).