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Rencontrez les sœurs qui viennent d’être appelées comme Consultantes interrégionales des organisations
Cette nouvelle position dans l’Église permet aux sœurs de se concerter avec les dirigeants de la prêtrise et de former les membres des organisations dirigées par des sœurs dans les pieux, les districts, les paroisses et les branches.
Trois femmes de l’interrégion d’Afrique Australe ont récemment été appelées comme « consultantes interrégionales des organisations ».
Il s’agit d’une nouvelle position qui a été ajoutée à la structure organisationnelle de l’Église. Cette position appelle ces femmes à participer aux conseils des dirigeants et à encadrer, former et soutenir les organisations dirigées par des sœurs dans toutes les interrégions.
Lisez la suite pour en savoir plus sur les trois sœurs qui ont été appelées à remplir ce tout nouveau rôle dans l’interrégion.
Amalia Malidadi vit à Beira, dans la province de Sofala, au Mozambique.
Avant cet appel, sœur Malidadi était présidente des Jeunes Filles du pieu de Beira, au Mozambique. Elle a servi dans plusieurs appels de l’Église, notamment comme présidente de la Société de secours de branche et dirigeante des JSF en 2017.
Sœur Malidadi est titulaire d’un doctorat, d’une maitrise en administration des affaires et d’une maitrise en ressources humaines. Elle est chargée de cours en gestion des affaires à l’Université catholique du Mozambique, où elle enseigne la gestion marketing et la gestion financière.
Malgré ses diverses responsabilités, sœur Malidadi dit que sa famille l’inspire. « Je veux être un bon exemple pour ma famille et pour tous ceux qui m’entourent », dit-elle. Elle est mariée à Solomon Malidadi depuis 1999, et ils ont trois enfants.
Elle a hâte « d’apprendre beaucoup et de grandir spirituellement, intellectuellement et surtout émotionnellement » dans son nouvel appel.
Sœur Malidadi dit que son objectif personnel est de « renforcer les capacités des femmes et de leur montrer que nous sommes des êtres capables. Avec un peu de volonté, nous pouvons relever tous les défis ».
Avant cet appel, Theresa Tshidi Chokoe était présidente de la Société de secours du pieu de Roodepoort, en Afrique du Sud.
Elle a servi dans plusieurs appels de l’Église, notamment comme spécialiste de l’emploi de pieu, conseillère dans la Société de Secours de paroisse, conseillère dans la Primaire et dirigeante des JSF en 2018.
Sœur Chokoe travaille pour le département de l’éducation dans la province de Gauteng en Afrique du Sud, où elle occupe actuellement les fonctions de spécialiste en chef adjointe de l’éducation en matière de prise en charge psychosociale.
Elle est mariée à Mpho Chokoe. Ils ont trois enfants et trois petits-enfants. Elle réside à Krugersdorp, à l’ouest de Johannesburg, en Afrique du Sud.
En servant ce nouvel appel, sœur Chokoe entend « participer à l’œuvre du Seigneur en vivant l’Évangile et en prenant soin des nécessiteux ».
Le service pastoral et « servir les autres avec amour et compassion » sont les principes directeurs qui l’inspirent dans sa vie. Dans le cadre de son nouvel appel, sœur Chokoe dit qu’elle se réjouit « d’être guidée par l’esprit en servant avec humilité et en embrassant la diversité ».
Tarirai Mhonda réside à Harare, au Zimbabwe. Elle est propriétaire d’une entreprise consultante en tourisme et est aussi spécialisée dans le secteur du cuir. Elle a travaillé pour divers organismes paraétatiques du gouvernement, dont le ministère du Tourisme du Zimbabwe, la Reserve Bank of Zimbabwe et le Zimbabwe National Park. Elle s’adonne également à la petite agriculture avec son mari, qu’elle a épousé en 1988. Elle a servi dans plusieurs appels de l’Église, notamment comme conseillère dans la Société de Secours de pieu, présidente de la Société de Secours de paroisse et conseillère dans la Société de Secours de paroisse.
Sœur Mhonda a été baptisée à Salzbourg, en Autriche. Elle est mère de trois enfants.
Elle estime que cet appel de consultante interrégionale des organisations aidera à rapprocher la présidence de l’interrégion des organisations dirigées par des sœurs dans l’Église.
Dans le cadre de son nouvel appel, sœur Mhonda dit qu’elle « espère que les sœurs participeront davantage aux réunions de leur conseil, ce qui les amènera à se sentir aimées et à savoir que leur rôle est important pour l’Église ».
« Toutes les sœurs devraient se sentir motivées par le message du président Nelson lors de la conférence d’octobre 2019 : le rôle des femmes est tout aussi important dans le rassemblement de Sion en vue de la seconde venue de notre Sauveur Jésus-Christ », dit-elle.
Dans sa vie, sœur Mhonda s’inspire des Écritures, des discours des conférences et des articles du Liahona. Elle puise sa force des dirigeants qui « me rappellent que même si la vie est pleine d’adversités et de tribulations, il y a toujours possibilité d’envisager les choses de manière positive », dit-elle. « L’espoir et la foi me permettront de traverser les moments les plus difficiles ».