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Chaque anomalie d’apurement nécessite une mesure corrective. Une mesure corrective est la déclaration du dirigeant de l’unité des actions que son greffier et lui mettront en place pour déterminer et corriger la cause essentielle du problème afin qu’il ne se reproduise plus. Le dirigeant d’unité détermine les mesures correctives nécessaires et les enregistre comme partie intégrante des résultats de l’apurement. Par exemple, si l’anomalie d’apurement d’une paroisse consiste en l’absence d’un reçu, la mesure corrective de l’évêque peut inclure une explication concernant :
Le dirigeant de l’unité désigne une personne et lui confie la responsabilité de mettre en œuvre les mesures correctives. Il définit une date limite pour l’application de chaque mesure corrective. Cette date doit se situer dans les trente jours qui suivent la date d’échéance de l’apurement. Le comité d’apurement de pieu évalue la pertinence de chaque mesure corrective. Si nécessaire, le comité guide et forme les dirigeants de l’unité pour s’assurer qu’ils prennent les mesures correctives appropriées. Le président du comité d’apurement de pieu désigne une personne pour vérifier que chaque mesure corrective a été appliquée. Il définit une date limite pour la vérification.
Le plan des mesures correctives d’un apurement contient les mesures correctives de chaque anomalie d’apurement, le nom des personnes chargées de les appliquer ainsi que les dates d’application et de vérification pour chaque mesure corrective.