Suicide
Comment entamer une conversation avec une personne pour qui je suis inquiet ?


« Comment entamer une conversation avec une personne pour qui je suis inquiet ? » Foire aux questions (2018).

« Comment entamer une conversation ? » Foire aux questions.

Comment entamer une conversation avec une personne pour qui je suis inquiet ?

Trouvez un moment et un endroit où vous pouvez tous les deux parler librement. Dites à votre ami que vous vous souciez vraiment de son bien-être. Expliquez-lui ce que vous avez récemment observé, par exemple : « Tu sembles tellement triste ces derniers temps ». Laissez-lui le temps d’expliquer ce qu’il ressent. Montrez que vous vous souciez de lui en écoutant ce qu’il dit. Respectez ses sentiments en disant quelque chose comme : « Je suis désolé que tu souffres tant » ou « Je ne me rendais pas compte combien les choses étaient difficiles pour toi ».

Si le moment semble opportun, demandez-lui directement s’il a des pensées suicidaires. Vous pouvez par exemple lui demander : « Est-ce que tu envisages de mettre fin à tes jours ? » S’il répond que oui, demandez-lui s’il a réfléchi à un plan. Vous pouvez par exemple lui demander : « As-tu préparé un moyen de te faire du mal ? » S’il répond que oui, appelez les services d’urgence ou une ligne d’écoute de votre région.

S’il répond que non, montrez-lui que vous vous souciez de lui en écoutant ce qu’il vous dit. Encouragez-le à parler avec quelqu’un qui peut lui offrir un soutien supplémentaire. Voir l’article « Comment aider une personne en situation de crise » de ce site pour plus de détails.

Documentation produite par l’Église et la collectivité

(Une partie de la documentation suivante n’a pas été produite par l’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours, qui n’en a ni le contrôle ni la gestion. Cette documentation est destinée à vous servir de ressources supplémentaires pour votre étude du sujet. L’Église ne cautionne aucun contenu non conforme à ses doctrines et ses enseignements.)

  • « Par dessein divin », Ronald A. Rasband, Le Liahona, novembre 2017, p. 55-57.