2008
DÎME ET OFFRANDES
Octobre 2008


DÎME ET OFFRANDES

Je préfère être béni !

Payez de bon cœur une dîme complète. Ayez votre réunion de règlement de la dîme. Obéissez à la loi du jeûne.

Au Guyana, pays situé dans la partie nord de l’Amérique du Sud, des adolescents saints des derniers jours parlent de la dîme et des offrandes.

« Je préfère être béni ! » dit Simeon Lovell, quatorze ans, au cours d’une leçon de séminaire dans l’église de Prashad Nagar, à Georgetown. La classe vient de lire Malachie 3:8-12 qui avertit que les gens qui trompent Dieu en ne payant pas la dîme seront maudits mais qui promet que ceux qui paient leur dîme recevront des bénédictions dont l’abondance ne peut être mesurée.

« Regardez tout ce qui est promis, » dit Xiann Kippins, seize ans, un des camarades de classe. « Vous serez protégés. Vous prospérerez. Les écluses des cieux vous seront ouvertes. »

Clint Callender, dix-sept ans, de la deuxième branche de Garden Park, également à Georgetown, dit : « Tout ce qui est sur terre vient de notre Père céleste. Il ne redemande qu’une petite partie pour nous aider à montrer notre reconnaissance. Alors je suis content de payer la dîme. Je suis content de jeûner une fois par mois et de donner pour aider les pauvres. Et quand je vois tout ce que l’Église fait quand il y a un raz de marée, un ouragan ou une autre catastrophe, tous les vêtements et les denrées alimentaires qu’elle fournit, cela me rend heureux de penser que je peux y prendre part en étant généreux dans mes offrandes. »

Ailleurs, dans la mission des Antilles occidentales, Curfew Ali, dix-sept ans, de la branche d’Arima à Port of Spain (Trinité), explique à Mark Mangray, dix-sept ans également, que bien qu’elle ne gagne que peu d’argent, elle paie dix pour cent de ses revenus pour la dîme et participe à l’offrande de jeûne. « De cette façon, je sais que le Seigneur est libre de me bénir », dit-elle. Elle évoque avec Mark le règlement de la dîme et à quel point elle se sent bien d’être capable de déclarer qu’elle a payé une dîme complète.

Mark regarde une feuille de dons vierge, la lit et dit : « Tu as raison, Curfew. J’apporterai ma dîme à l’église demain. »